Accompagnement deuil

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L’accompagnement lors d’un deuil

Aucun mot ne peut décrire la douleur de perdre un enfant.

Dès qu’une femme sait qu’elle est enceinte, son enfant prend de l’importance.

Qu’une maman le perde en début de grossesse, durant le premier trimestre ou plus tard, cela provoque un choc.

L’être aimé et désiré qui prenait déjà tant de place dans sa vie n’est plus là et l’inacceptable s’impose.

C’est également le même déchirement lors d’un accouchement d’un enfant mort-né et lors du décès du tout petit après la naissance.

Les blessures causées par la mort d’un enfant sont profondes et durables.

Combien se vérifie ce qu’un médecin a écrit : « La mort d’un enfant est généralement plus tragique et traumatisante que celle d’une personne âgée car un enfant est le dernier membre d’une famille qu’on s’attend à voir mourir […].

La disparition d’un enfant est l’anéantissement de rêves d’avenir, de liens de parenté [fils, belle-fille, petits-enfants], d’évènements heureux […] qu’on n’a pas encore vécus ».

Toute femme qui a perdu un bébé éprouve également ce sentiment de perte.

Passer par différentes phases (incrédulité, refus d’accepter, apathie, sentiment de culpabilité, de colère) est tout à fait normal.

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Le cheminement du chagrin varie d’une femme à l’autre, d’un homme à l’autre et d’une famille à l’autre.

Je serai présente auprès de vous pour vous dispenser les soins médicaux nécessaires mais aussi pour vous écouter si vous voulez parler ou pour accompagner votre silence quand vous vous tairez…

Faire son deuil peut prendre du temps. Je serai donc à vos côtés durant cette partie de votre vie éprouvante.

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